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Mon blog Eklablog est un receuil de
textes accompagnés de mes créations ...
Se sont mes pensés personnelles sur la vie.
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	        	  Date de création : 01.01.2015
	        	  
Dernière mise à jour :
		        	 15.03.2019
		        	 
 4917 articles
			      
L'amour ce n'est pas
L'amour ce n'est pas ce qui est en toi ce n'est pas ce qui est en moi !
c 'est ce qui existe entre nous.
L'amour ce n'est pas ce que je suis pour toi ce n'est pas ce que tu es pour moi !
c'est ce qu'est le monde pour nous.
Cette contrée de vivre qu'on appelle le monde
Ce pays d'agir et de parler qui nous unit
Comme le geste d'embrasser unit les souffles.
Le monde avec nos yeux qui font le jour
Avec nos doigts qui y dessinent le temps
qui passe avec nos doigts
qui y fabriquent le temps
qui passe...
L'amour cette trace de nous dans le monde.
Marc Delouze Read
Les oiseaux
Les larmes sont une sorte d'oiseaux
Qui habitent le cœur des êtres.
Quelquefois, Elles apparaissent en bandes,
Mais souvent une seule d'entre elles
Vient se poser sur le bord d'une paupière.
S'envolant de nous,
De nos cils qui bordent les paupières,
Ces oiseaux-larmes entraînent sous leurs ailes
Cette douleur de taille comme des pierres
Qui le cœur si lourd à porter.
Mais pour se rendre jusqu'à nos yeux,
D’où ils s'échappent,
Ils doivent lutter contre les vents de l'indifférence et de l'orgueil ;
Ceux là qui,
Quelquefois,
Attrapent les oiseaux dans un grand filet et les gardent prisonniers
Jusqu’à ce qu'ils restent étouffés
Comme une boule nouée au creux de la gorge.
Ne capturons jamais d'oiseaux-larmes,
Ce sont des messagers du monde de notre cœur.
Ils ont quelque chose à dire,
À montrer aux autres.
Les oiseaux- larmes chantent la beauté de notre être.
Lorsqu'une larme jaillit des yeux d'un être
Et perle tendrement
Pour se laisser glisser sur la joue en la caressant,
Cueillez-la d'un baiser.
paroles d'amour ..
la poussière des regrets
Quelque soit ton passé, quelles que soient tes barrières,
Tout cela est bien loin, secoues-en la poussière,
Fais souffler sur ta vie un vent de volonté.
La poussière des regrets sera vite balayée.
La poussière des regrets est un mal ennuyeux,
Elle pénètre partout et fait pleurer les yeux,
Elle se glisse en douceur dans les moindres recoins
Pour nous faire étouffer, suffoquer de chagrin.
Elle se dépose en une épaisse couche à terre,
Où demeurent nos pas quand on regarde en arrière,
Elle applique au regard un voile obscurcissant,
Qui cache la lumière et rend triste en dedans.
Elle s'accumule d'autant mieux qu'on ne bouge pas
Et puis un jour, on se sent figé sous son poids.
Ne laisse pas ton cœur s'étouffer sous la cendre,
Respire et tu verras que le feu va reprendre.
Si tu doutes, contemple la vie dans la nature,
Les oiseaux savent bien qu'en haut, l'air est plus pur,
Aussi, vois comment ils prennent soin de leurs ailes,
Pas une tache ne souillera leur grâce dans le ciel.
Et de plus, au cas où tu n'y as pas pensé
Aucun d'eux ne regarde le sol pour s'envoler
LES PENSEES D'UN ANIMAL
Je ne sais pas lire
Je ne sais pas écrire
C’est normal Je suis un animal
Je fais partie D’une grande famille
Mon maître qui est si gentil
M’attriste toujours quand il est parti
On s’entend bien, nous deux
Je suis parfois heureux
Quand il me parle, toujours, je comprends
Mais moi, jamais il ne m’entend
Sait-il seulement, que j’ai peur
De perdre bientôt mon bonheur
Oui j’ai peur, quand je pense
A ce mot qu’il dit souvent «vacances»
Cela veut dire que pour moi
Bientôt, je n’aurai plus de toit
Pour m’abriter Pour me réchauffer
Je ne pense même pas
A tous ces bons repas
Que je n’aurai plus
Puisque je serai bientôt perdu
Pourtant, je tiens si peu de place
Mais à quoi bon, hélas
Je ne puis te parler
Est-ce possible… tu vas m’abandonner;
Bien sûr, je ne suis qu’un animal
Mais, ne plus te voir me fait mal
Comment te le faire savoir
J’essaye pourtant chaque soir
Quand, sur tes pieds
Je suis couché
Jamais tu ne m’as vu pleurer
Pourtant, mes yeux, souvent sont mouillés
Et si je te suis partout
C’est pour te faire comprendre malgré tout
Que peut-être cette fois, je ne pourrai résister
Et de mourir doucement abandonné
De toi, mon maître si grand
Que l’on dit, intelligent
Me fait déjà souffrir
Parce que «vacances»
Pour moi, c’est peut-être mourir.
Raymond Joniaux
J’aimerais être poète
J’aimerais être poète…
Moi… qui écris mes pensées…
Pour ne pas les oublier…
J’essai… de vivre de peut-être…
Oui… ces peut-être de rêveurs…
Qui se nourrissent de virtuels…
Où les mots attendent leur heure…
Pour l’assemblage du rituel…
Un poème… est-ce un parcours ?...
D’un cheminement de pensées ?...
En quelques vers pour faire court ?...
Merci … ETRES DE LUMIERES…
Merci… muse…crayon… cahier…
Merci…circonstances qui errent…
Oh !... voici déjà la fin…
Comment vais-je le terminer ?...
Pour que le poème soit plein…
J’espère qu’il vous aura plu…
Ce développement lu.
!
Mon cher journal
Écrire, parler a un cahier,
N’est pas banal !
As-tu envie que je te parle ?
Ainsi de te raconter
Ce que la vie m'a enseigner
Sa première leçon était si dur
Mais je l'ai autoriser au fur et à mesure
Cette dernière est la suivante
D'être sérieuse puisque je suis vivante
Apprendre que je ne suis pas parfaite
Et je ne le serai jamais
M’accepter comme je suis
Tant que je serai ici
Apprendre à pardonner
Savoir prendre et aussi donner
A la personne qui pour nous à du respect
Sans même y penser
Rester fidèle jusqu'au dernier jour de la vie
Sans oublier les gens qui nous aimes
Avoir confiance en soi
Tout simplement être moi
Des mensonges rester loin
Et savoir supporter les lendemains
Oui, banale est cette histoire
Je te la confie, pour que tu te souviennes !!!
Mariejose Tanesie
Derrière son masque en porcelaine
Elle enfouit ses maux, sa haine
Mais la porcelaine se fissure
Devant une simple figure…
Derrière son masque en porcelaine
Elle se cache sous la graine
Montrant une autre image d’elle
Au milieu d’une ritournelle…
Derrière son masque en porcelaine
Elle enterre tout ce qui l’entraîne
Vers les douleurs de ses souffrances
Son esprit s’en va en errance…
Valérie S. (Art & Poèmes)
Les oiseaux de l'hiver
Mais d'où viennent ces oiseaux
Que j'entends chanter l'hiver?
Où se cachent leurs fuseaux
De plume sur fil de chair?
Il neigeait encor hier
Sur l'arbre et le caniveau,
Et les miettes du pain clair,
Pour des petits yeux d'oiseaux,
Se perdaient dans la lumière,
Des flocons à mes carreaux.
Ô mes oiseaux de l'hiver,
Par le froid levés si tôt,
Ô mes oiseaux sans manière,
Faits pour chanter comme l'eau
Des qu'elle a roulé rivière.
Que penser de nos misères,
Tristes colliers de grelots,
Quand on secoue leur poussière,
Au milieu des trilles fiers,
D'un bonheur clamé si haut.
Micheline Dupray.
Vieillir en beauté, c'est vieillir avec son cœur;
Sans remord, sans regret, sans regarder l'heure;
Aller de l'avant, arrêter d'avoir peur;
Car, à chaque âge, se rattache un bonheur.
Vieillir en beauté, c'est vieillir avec son corps;
Le garder sain en dedans, beau en dehors.
Ne jamais abdiquer devant un effort.
L'âge n'a rien à voir avec la mort.
Vieillir en beauté, c'est donner un coup de pouce
À ceux qui se sentent perdus dans la brousse,
Qui ne croient plus que la vie peut être douce
Et qu'il y a toujours quelqu'un à la rescousse.
Vieillir en beauté, c'est vieillir positivement.
Ne pas pleurer sur ses souvenirs d'antan.
Être fier d'avoir les cheveux blancs,
Car, pour être heureux, on a encore le temps.
Vieillir en beauté, c'est vieillir avec amour,
Savoir donner sans rien attendre en retour;
Car, où que l'on soit, à l'aube du jour,
Il y a quelqu'un à qui dire bonjour.
Vieillir en beauté, c'est vieillir avec espoir;
Être content de soi en se couchant le soir.
Et lorsque viendra le point de non-recevoir,
Se dire qu'au fond, ce n'est qu'un au revoir.
Bluet aux regards d'améthyste,
Bluet aux yeux de ciel, dis-nous
Ce qui te fait être si triste ?
- J'ai vu ses yeux, j'en suis jaloux.
Et toi, simple églantine rose,
Payse aux lèvres de carmin,
Pourquoi sembles-tu si morose ?
- Je suis jalouse de son teint.
Toi, beau lys, qu'en dis-tu ?
- Que n'ai-je
Le fin velouté, la blancheur, La fraîcheur d'aurore et de neige
De sa diaphane blondeur !
Je comprends votre jalousie,
Ô fleurs, c'est qu'hier, en ces lieux,
Dans sa robe de fantaisie
La Muse a passé sous vos yeux.
Nérée Beauchemin.